Urban Trail Bogota 2024 – Récit
Pour cette dernière compétition de l’année, il y a donc eu hier, la présentation de l’épreuve, et comme toujours, tu as droit le lendemain au récit! A base de statistiques et des quelques photos prises durant la course!
D’abord, situé à 3km de chez moi, il fallait y aller: petit déjeuner de champion, arrivée du collègue Raph à 7h30 ….
Avant-course
…..puis nous y allons à pied, en marchant au début et avec un pseudo échauffement ensuite!
Ensuite, devant la Cinemateca, les copains nous rejoignent, Nico et Julien en profitant pour récupérer leur dossard dans mes mains. On discute le coup, tout en rejoignant la zone de départ.
Pas besoin de crème solaire, avec distributeur humain, mais de rejoindre le sas vers 8h35 si!
Comme imaginé, pour ma première course « à sas », un beau bordel! Nous entrons, sans aucun contrôle ni aucune délimitation physique dans le notre, le « E » mais ceux qui nous entourent viennent tous du F,G et plus. Alors nous remontons aussi au début du « D ».
Course
Mais bon le départ sera un fiasco (une minute entre mon temps puce et mon temps pistolet), et la plupart des gens devant nous, affrontent la première montée, 20m après le départ, en marchant! Pas de bouchon, mais énormément de slalom à faire! Le bordel quoi!
Outre cette première côte, que je ne vois pas passer, occupé à zig-zaguer, la seconde que nous connaissons bien avec Raph, car elle casse les pattes quand tu la fais à vélo, idem! Puis demi-tour et je croise le gros des coureurs.
Descente, puis plat sur la Septima que je tiens à un bon rythme: 4:15/km jusqu’au 5e et l’entrée du Parque Nacional, donc quasiment au début de la réelle (et très courte au final) partie trail. Je monte plutôt bien, plus habitué au D+ que la plupart des participants) et surtout en pensant à Yann, qui me disait dans la tête, « sur 11K tu ne marches pas »! Plat sur la Cirumvalar et descente, très courte elle aussi pour sa portion « sentier ».
Retour sur le faux plat montant de la Septima, sans doubler personne, les écarts sont faits et ici se retrouvent des coureurs de niveau équivalent. Et enfin quelques dernières côtes, où là encore je reprends des routards peu habitués.
Demain tu auras droit au classement détaillé, mais voici mes statistiques enregistrées par la montre et publiées sur Strava: 52’20 temps puce pour 11,15K et seulement 271m de D+ (annoncée 330).
Je vois ensuite arrivé Raph (8 mn plus tard) puis nous allons nous placer, voir arriver les autres: Nico, Ju, Anto, puis Pao.
Bilan
Vraiment pas génial, nous l’avons fait, mais nous sommes assez unanimes pour dire qu’une seule fois sera suffisante: trop de chiens (canitrail, mais tous mélangés); des sas mais aucune organisation pour les faire respecter; trop de monde (presque 3000 participants) et un parcours pas tellement nature, avec 70-80% d’asphalte.
Finalement le meilleur moment ce fut peut-être le brunch casse-croûte pris ensemble (rejoins par Sabrina, Pauline et Ana qui avaient du sentir le coup…) pour fêter la fin de saison des Coqs en Vain. Vin blanc, saucisson, café, viennoiseries, sandwich, quiches, fromages, et surtout le fameux mimosa (cocktail champagne-jus d’orange).
Tout est bien qui finit bien…
Et un joli temps, s’il vous plaît !
Un après course très réussi et un temps tb aussi !
Les courses en ville c’est pour les urbains qui ne veulent pas bouger de chez eux, mais ça n’a aucun intérêt 🙂 Blague à part, il en faut pour tout le monde mais je ne suis pas non plus client, la nature et les montagnes sont trop belles. Le cocktail c’est pour cacher la qualité médiocre du champagne local ?