Ebaque trail le récit

Avant-hier, dimanche 23 mars, c’était jour de trail. Et qui dit épreuve, dit, au niveau du blog, dans la semaine qui suit, une série de posts lui étant liés. Voici donc le premier, Ebaque Trail le récit!
Pré-course à Ubaque
On rentre directement dans le vif du sujet! Entre chez Colin où nous logions et Ubaque, il y a une vingtaine de minutes de voiture. Levés à 5h40, petit-déjeuner forcé, et nous décollons donc à 6h30. 5 coureurs seulement, donc une seule voiture.
Car il nous faut récupérer nos dossards. Ce qui pouvait se faire la veille…. mais aussi le matin même de l’épreuve (à partir de 6h). Sauf que beaucoup de coureurs ont eu la même idée et un seul ordi pour ce faire, nous attendrons longtemps et le départ sera quasiment retardé d’une heure.
Surtout qu’il y a l’échauffement commun!
Course Ebaque Trail
Une des plus exigeante que j’ai courue jusqu’à date. Tout simplement parce que sur les 1273 mètres de D+, 1000 sont avalés dans les 9 premiers kilomètres. Et 1100 avant les 10 kilomètres. Par exemple, déjà plus de180 m de D+ parcourus après seulement 1,5km de course!

Ça monte ferme dès le début, petit tour du lac puis on remonte jusqu’aux antennes.
Puis on redescends évidemment! La même quantité de dénivelé, en négatif sur la même distance 10K! On croise la route, on remonte un peu, histoire de se finir les cuisses.
Bilan à chaud
Nous le ferons de manière nettement plus poussée demain, mais voici le circuit et mes stats!

Anto finira aussi, un peu après, avec le même sentiment de difficultés perçues.
Et hop nouvelle médaille!
Et bien bravo !
Encore une belle médaille !
Rien que sur le papier les chiffres m’effraient , faut être un peu fou , non ?????
Magnifiques paysages encore ! Et jolie bleue pour pour cette médaille grenouille !
Pas trop fan de cette médaille, certes originale, mais qui ressemble plus à un gadget qu’à une récompense. Bravo pour l’effort atypique !
Alors ici plus c’est gros et visible, plus les gens sont fans! Et moins elle sort chère, plus l’organisateur est heureux…. Je n’y fais même plus attention.