Hamburgers ternandais

Yvette nous soigne avec une multitude de bons petits plats. Mais elle ne se repose pas beaucoup! Alors un jour, pour un repas, nous avons pris la main. Sauf que bon, nous ne sommes pas de grands cuisiniers. Même si je cuisine toute l’année, j’ai tendance à dire que je « fais á manger ». Et Lina c’est encore pire! Alors pour faire simple et pour changer un peu, nous avons proposé à la carte, des hamburgers ternandais.
Ce fut un peu le sommet de notre semaine de boulot! Entre apéros-rosé, orgaes, sport et piscine.




Approvisionnement
Un hamburger cela vient avec des frites. Alors c’est là que nous avons joué notre va-tout. Sur l’exotisme. Ce sera patacon (banane plantain écrasée et frite et frites de yuca, manioc en français).
Pour ce genre d’appro, direction Grand Frais à Civrieux d’Azergues.

A noter que le yuca vient du Costa-Rica et le plantain… de Colombie.

L’an passé nous avions été abasourdi par ces fruits et légumes exotiques venus de notre continent, mais là le sprix nous ont paru plutôt corrects. 4€ de manioc, 3,50€ de plantain

Bon ok les mangues, délicieuses au demeurant, ça piquait un peu plus. Et encore nous n¡avons pas opté pour les magos azucar, qui en Colombie ne coûte rien tant elles sont abondantes en saison. Mais qui ici, valent la peau du c..l. Genre 15€ le kilo.
Cuisine
Rien d’exceptionnel, à part au niveau du patacon. Une première friture pour l’attendrir, puis il faut l’ècraser et une seconde friture.
Pour le reste, viande, bacon, fromage, salade, oignons, tomates, rien que du très classique.
Mais c’est plutôt mangeable!

Surtout pousser par un bon Château-Neuf plutôt qu’un coca!
Mangeable est bien pejoratif !
Succulent et excellemment servi !
Bien agréable de simplement mettre les pieds sous la table pour manger différemment et très bon . Merci