Cascada de Los Caballero

Nous avons donc fait un kilomètre depuis hier, en plus sur la même piste que devrait nous conduire à notre dernier hébergement, l’hôtel Las Terrazas de Guadalupe!

Pour arriver à la cascade de Los Caballero! Alors d’abord je pensais comme beaucoup qu’elle se nommait « Cascada de Los Caballeros » (cascade des cavaliers) mais après avoir rédigé l’article d’hier et découvert que les fondateurs de l’usine locale se nommaient les frères Caballero… j’en conviens que c’est le nom officiel du lieu!

A 50 mètres de la route, une magnifique chute d’eau de quasiment 100 mètres de hauteur!

Évidemment nous nous approchons donc….

…pour nous rafraîchir!

Après il nous faut continuer, confiants, notre route pour atteindre, par une piste annoncée difficile (mais courte 13 km) voir même bloquée (mais il y a une déviation)!

Car à ce moment là, nous rencontrons un autochtone à moto qui nous explique que retrouver la piste principale sera complexe, mais comme ce n’est pas loin, il veut bien nous montrer la piste!

mais l’orage arrive et sa piste, la plus courte s’avère … infranchissable pour nous!

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Heureusement le 4*4 avait anticipé, suivant l’avis des locaux, et suivi une autre piste! Piste que nous voulons suivre, mais dans l’effort la Royald Enfield de Thomas a perdu son embrayage!

Mais la galère est loin d’être terminée: la piste est détrempée et comme c’est une couche de glaise, qui se prend dans les garde-boue, et bloque les roues, nous mettrons 1h pour faire 500 mètres, puis 2 heures pour atteindre l’hôtel à 10 kilomètres de là!

Arrivés trempés et épuisés, juste le temps de boire une bière et de se changer,

que Thomas nous appelle: il a réussi une réparation de fortune et s’est mis en route seul, sur la même patinoire que nous! Après quelques kilomètres il est bloqué et crevé! On saute donc dans nos affaires mouillés et sales, puis dans le Montero de Jean pour aller le secourir!

Une longue poussée, Vincent au guidon et Thomas dans la voiture, la moto et son pilote sont ramenés à bon port!

A la vie de motard, quelle aventure!