Trajet Bogota-Capurgana

J’avais introduit mon départ en vacances par un itinéraire au final assez simplifié qui indiquait que l’on prendrait 2 vols, un « gros » par Avianca et un plus rustique avec ADA pour arriver dans un bled pas loin de la frontière panaméenne, nommé Acandi.
Il se trouve que je vais donc ouvrir la semaine où je te raconte mes vacances par un petit rectificatif et donc un post concernant le transport.
Car, une fois les choses un peu plus mises en place dans ma tête, il s’est trouvé qu’Acandi n’était pas notre destination finale, celle-ci étant une encore plus petite ville nommée Capurgana… encore plus proche de la frontière….
Donc je reprends un pue le trajet: un coup de taxi à 6h30 du matin d’atteindre l’aéroport El Dorado de Bogota, puis des formalités très classique, enregistrement, fouilles, embarquement jusqu’à l’aéroport international de Medellin (Rio Negro) …. situé à une heure du centre-ville en descendant (donc rajouter une heure de taxi non visualisée par moi-même).
Le lendemain, re-départ de Medellin, mais de l’aéroport Olaya (l’ancien en fait) situé en pleine ville à 5 minutes de taxi de notre hôtel!

Un joli aéroport à l’allure d’église….


Aussi connu pour être le lieu ou mourut en 1935 la star franco-argentine du tango, Carlos Gardel

Et là, tout fut un poil plus déroutant (et je ne compte pas les 2h de retard… pour … maintenance).










Mais il est clair que tout devint plus cocasse à l’arrivée à l’aéroport drome d’Acandi!




C’est là que je n’avais pas percuté! il a fallu ensuite se rendre en ville: métro? Non! Bus? Non! Taxi? Non plus!


et du charrette-stop!




Mais là encore, le voyage ne touchait pas à sa fin…. restait à trouver une lancha (barque de mer) pour nous rendre à Capurgana….. Car les 2 heures de retard et le dimanche faisait que le service régulier ne prévoyait plus de lancha…. Après une longue attente et quelques négociations, nous affrétons notre propre embarcation….







Car cela a fini trempé!
Mais nous voilà enfin arrivez à Bahia Lodge, le paradis de Lothar, l’allemand chez qui nous avions réservé!
Non, car nous avons débarqué de l’autre côté de la crique… mais un peu de marche pour se dégourdir les jambes après ce long périple, cela ne faisait pas de mal….





Je finirais le cycle Capurgana par le trajet retour, parce que même si tu en connais les étapes, cela a été sport….
C’est « survivor » ?
trop fort manque plus que la tyrolienne
C est un peu khôlanta… Ah… La lancha pas pour moi!!! Bisous yvette