Stades du monde, version Pro, 1ère partie

Tu avais donc eu droit à un premier opus présentant tous les stades que j’avais aperçu de part mes aventures, voir même mieux ceux que j’avais pu fouler de mes propres élégants pas de course!

Je reviens avec la 2e version, celle des stades où je me suis assis en spectateur, et les matchs que j’y ai vu! Il y a quand même quelques perles!

Me concentrant la partie « expatriation » de ma vie, je n’inclus pas ici les stades beaucoup fréquentés (mais j’y reviendrais), comme le Stade de Gerland, mon tout premier, où les stades où j’ai pénétré avant l’ère de la banalisation de l’appareil photo numérique (au rang desquels il y a les stades de la coupe du monde 1998 – Gerland, le Vélodrome et le Parc des Princes, et ceux de mes années de suiveurs un peu plus assidu de l’OL  – L’Abbé Deschamps, Geoffroy Guichard, La Mosson, le Parc Lescure, San Siro et enfin le Stadium de ma période toulousaine (je ne compte pas Maurice Postaire à Cherbourg, hein Ludo!)

C’est parti dans l’ordre chronologique, depuis le Niger en l’an 2000! Mais après gros travail de recherche dans mes archives, je m’aperçois que pour ne pas te submerger de photos, je vais scinder cette article en 2 (en 4 même au final, tu verras), une période comprenant donc le Niger, Haïti, la Norvège , la seconde incluant les 3 pays suivants, à savoir le Cameroun, la Corée du Sud et la Colombie!

Niger: le Stade Seyni Kouncthé , estimé à « l’africaine » à 40.000 places est le seul dont j’ai des images (et encore des scans d’images prises à l’appareil jetable, c’est dire), que tu as déjà vu dans le 1er épisode puisque je l’ai foulé dans la partie « professionnelle » de ma carrière!

Je n’ai fait qu’y jouer, mais j’y ai vu un match entre la JST (mon futur club) et l’Olympique Niamey (pas lyonnais) pour une finale de Coupe du Niger. Pas de match du Mena National, la sélection, qui était en sommeil à cette époque! Et un concert de Pierrette Adams aussi! Malheureusement sans cliché illustrateur!

Haïti: même principe, avec le Stade Sylvio Cator, petite structure (13.000 places) en mauvais état, que j’ai foulé (lors d’un match exhibition pour le journée mondiale de lutte contre le Sida)… malgré sa réfection par les brésiliens de la MINUSTHA.

Là encore la sélection n’était pas vaillante, mais j’ai pu assister sur la fin à un incongru Haïti-Cuba! Y’a rien là??

Norvège: là, un peu plus de matériel photographique, même si les smartphones n’étaient pas encore d’actualité, enfin pour moi!

J’y ai découvert principalement 3 stades (je ne peux compter le ColorLin Stadion d’Alesund et le Lekerdal Stadion du Rosenborg Trondheim que j’ai simplement aperçu. Ou le Åråsen Stadion, le stade de Lillestrom SK, où je suis certain d’avoir vu un derby d’Oslo dont je ne retrouve aucune trace)!

Ulleval Stadion: désolé j’ai pas le petit rond sur le « a » de son nom! Le stade d’Oslo où joue la sélection nationale de Norvège, d’une capacité de 28.000 places!

Que j’ai vu quasiment vide… pour un match de championnat Vålerenga-Tromsø IL (vive le copié-collé pour les lettres cheloux)….

Et un peu plein pour un autre match incongru Norvège-Monténégro, premier match officiel de cette nouvelle sélection! Avec Clarence et Alex.

Et le Telenor Arena, stade flambant neuf à cette époque (15600 places en version football, 23.000 en version…. concert), du club de la banlieue d’Oslo, Stabaek (Stabæk Fotball, il a aussi sa lettre particulière).

Stade couvert (oui oui) que j’ai exploré lors d’une finale de Coupe de Norvège Féminine! Avec entrée gratuite et avec Manu et ses enfants, et toujours Clacla!

Enfin, après t’avoir démontré que je néétais pas sexiste, je peux aussi prouver que je ne suis pas exclusivement axé football, avec mon stade préféré à Oslo…

Bislett Stadion: le plus ancien (1922), pas très grand (15.400  places) et situé en pleine ville.

Où je n’ai pas vu de match de foot des clubes résidents le Skeid Football puis le Lyn Oslo, mais vu les Bislett Games, une épreuve d’athlétisme comptant pour la Golden League, avec toute une série de pointures de l’athlé mondial présentes!

Nous voilà donc arrivé à la fin de la première série, avec au compteur quelques stades surprenants et peu courus, mais aussi des matchs plus aléatoires les uns que les autres!

Et bien, promis, pour la suite, on restera dans la même veine!