Bahia Solano

J’y ai atterri déjà 2 fois, mais je n’avais jamais exploré cette petite ville du Choco! Découverte de Bahia Solano, puis on rentre du Choco. Mais d’abord dernière soirée sous la pleine lune…. après pleins d’aventures!

Et un levé plus matinal que prévu, la compagnie des copains Pacific Air ayant tendance à …. avancer les vols au dernier moment (avertis à 21h30 il a fallu changer nos plans)!

Dernière voyage en lancha jusqu’à Bahia Solano, au soleil levant, lancha qui nous dépose à la « Esso ».

Là un mini-bus nous amène tous en ville, mais seuls Olivier, Lina et moi descendons car notre vol Satena part 4 heures plus tard.

Après cela, pour tuer le temps, nous partons visiter cette petite ville côtière.

Direction le Malecon pour observer la baie. Passage à la Casa de la Cultura puis la place centrale, qui n’est donc pas au centre. En passant, on repère des maisons traditionnelles en bois.

Ah oui, depuis le toit-terrasse de la maison de la culture, on a eu notre vue sur la baie!

Belles installations sportives, même si les jeunes s’entraînent visiblement sur la plage à marée basse!

Ville en travaux, petit à petit ils bétonnent les rues (oui difficile de faire venir de l’asphalte au bout du monde). Avec même l’affiche 4×3 « avant-après »!

Des bâtiments officiels, mairie, hôpital, église (avec Thérèse de Lisieux inside) et le réparateur agréé de tuktuk!

Niveau insolite, à part les tuktuks, les autres véhicules les plus nombreux sont … des tracteurs aux pneus lisses (pour déplacer les bateaux). De splendides lampadaires façon dauphin. Et loin de tout, mais bien approvisionnée en bière la ville! Avec cependant un distributeur (payant) d’eau traitée!

Cependant le plus « insolite », est l’hôtel construit par (avec les fonds de) Pablo Escobar (Medellin n’est qu’à 40 minutes de vol). Qui a du avoir des jours meilleurs!

Et la vue d’en haut: à la sortie de l’église, un panneau touristique nous explique qu’il existe un point de vue en hauteur, la colline de la vierge! Ni une ni deux, il nous reste du temps, on y grimpe!

En effet cela en valait la peine!

Voyant passer l’avion de nos copains, il est temps de redescendre, de récupérer nos sacs et de sauter dans un tuktuk direction l’aéroport local.