Ciudad Perdida

Un peu d’histoire d’abord: cette cité perdue est d’origine Tayrona, appelée Teyuna dans leur langue, fondé autour de l’an 800 après JC (soit 650 ans avant le Machu Pichu). Connue des tribus indigènes descendants des Tayrona (Kogi, Arauco,…) mais qui en gardaient l’existence secrète jusqu’à ce que des pilleurs de tombes-braconniers découvrent un escalier en pierre amenant à la cité perdue en 1972! L’existence en fut révélée en 1978 quand des objets d’art en céramique mais aussi en or sont apparus sur le marché local. Cette cité avait apparemment été abandonnée durant la conquête espagnole.

Pour nous donc, départ matinal, en empruntant le sentier suivant le Rio Burritaca, qu’il faut traverser.

Puis ces fameuses 1200 marches pour accéder au site!

Arrivée à l’entrée, avant l’ouverture (enfin après l’horaire officiel, mais avant le préposé), un petit coup de tampon sur le « passeport » (qui propose une petite carte du site), et enfin les premières terrasses…

D’autres terrasses, des explications de Kelly notre guide (depuis le début), quelques photos, et des derniers escaliers pour arriver au point le plus impressionnant du site.

Pour y accéder, encore quelques marches…..

Le but de partir tôt était d’arriver dans ce lieu les premiers afin de faire des photos libres d’humains, car les habituels clichés sont beaux mais peuplés. Quelques photos de groupe, du temps pour observer la lumière du soleil inonder le site….

Et retour au Camp 3, par un chemin différent:

Au final, une superbe visite, un super site, pas à la hauteur d’autres lieux mythiques d’Amérique du Sud, péruviens, mexicains ou guatémaltèques, qui vaut cependant par l’effort au long cours à accomplir pour y accéder, mais heureux d’avoir pu y jeter un oeil dans un cadre idéal, en ces temps de tourisme en berne.

3 commentaires sur “Ciudad Perdida

  1. Magnifique site en effet !
    J’avais vu un reportage TV sur le Trésor des KOGIS ( et autres tribus) , mais tout est bien flou dans ma mémoire !

  2. Ils n’avaient pas peur des escaliers ces anciens.
    Mais ils avaient on goût pour trouver des sites avec vues.

  3. Ils n’avaient pas peur des escaliers ces anciens.
    Mais ils avaient bon goût pour trouver des sites avec vues.

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