Mes plantes: comment s’est passé l’été?

J’ai merdé: cela fait déjà un mois que je suis rentré, et que j’aurais donc du te faire un petit bilan sur l’été qu’avaient vécu mes plantations, qui pour la plupart ont passé mon absence sur la terrasse!

Mais je dois pouvoir te résumer tout cela grâce à des photos prises sur le moment et d’autres nettement plus récentes, permettant un réel bilan, en désignant les survivantes de celles qui n’ont pas résisté!

Voilà donc comment j’ai retrouvé le bazar!

Un gros merdier réalisé comme d’habitude par les pigeons, qui adorent renverser certains pots (je les soupçonne d’y chercher un peu de nourriture, surtout si des vers se cachent dans la terre des fleurs), mais globalement un peu moins sec que les autres années, avec cependant quelques décès!

La (belle) surprise, c’est que le plant de tomate enraciné dans le composteur a bien profité! Et si Dios quiere, j’aurais une petite récolte (il faut cependant que le pied survive….)!

Dès le levé le dimanche du retour, un peu de jardinage pour sauver ce qui peut encore l’être: transplanter, nourrir, arroser voir repiquer! Et aussi semer les plantes aromatiques ramenées de France!

Enfin chaque plante reprend ensuite sa place habituelle à peu près…), afin de repartir sur un, je l’espère, cycle de croissance! Mais j’ai oublié de prendre des photos!!

Plus d’un mois après, voilà ce que cela donne:

Le plant de tomate est toujours vivant, bien que jaunissant à vitesse grand V!

Les plants en extérieur ont repris la forme:

Les plantes aromatiques ont germées (mais pas toute je crois):

En bas….

les citronniers, papayer, manguiers ou encore géranium et pitaya vont bien, ainsi que les autres plants retournés en intérieur:

Les plantes grimpantes, fortement impactées, reverdissent!

En haut aussi les nouvelles sont plutôt bonnes:

Et les plants réellement morts sont recyclés pour devenir supports d’autres plantes!

Pour décorer ma salle de bain, façon jungle!

Le bilan est donc plutôt positif, cette année, sans mission arrosage de la portera Lucero, je ne m’en sors pas trop mal! La pluviométrie a du y être pour beaucoup, le fait d’avoir sorti beaucoup plus de plantes aussi!

Mais la vie est un éternel recommencement!