Passager clandestins

Sûrement parce que j’appréhende beaucoup de poser mon c** sur un vélo pour les 30 prochains jours et surtout 2000 kms… que je publie ce jour ce post!

Car si au moment où je les ai aperçus, je ne les ai pas particulièrement enviés! mais je pense que dans les semaines à venir, mon point de vue pourrait changer!

Et que j’aurais ce genre de tentations….

L’autre situation rencontrée durant la même virée, le voyage scolaire des 5e, est moins rigolote…

Le pays est submergé par les migrants vénézuéliens, et les images de cohortes d’hommes, femmes et enfants, avec ou sans bagage, marchant sur les routes à la recherche d’un point de chute et d’un travail pour subsister, m’a donné des frissons.

Je l’ai constaté principalement lors de mon périple à moto, solo, dans l’Eje Cafetero, mais j’avoue que pas une minute l’idée de m’arrêter pour prendre des photos ne m’a effleuré!

Certains ayant marre de marcher, tentent ceci:

Outre la violence des routiers si jamais ils les découvrent, la chasse aux clandestins de la Police, rester debout accrochés durant des heures à ce qu’ils peuvent, est loin d’être de tout repos et sans danger!

Mais là aussi, au 85e kilomètre de vélo, chaque jour, je ne penserais sûrement plus pareil!